Les Bidochons en balade

Les Bidochons en balade

Une cure, des roses et de lavande

 

 

 

 

Une petite parenthèse de 3 semaines dans cette moitié d'année 2019 bien compliquée.

Nous sommes repartis en cure thermale à Montbrun les Bains dans la Drôme avec Tata Colette.

 

 

Nous retrouvons notre petite maison au milieu des champs, face au Mont Ventoux et avec vue sur le village toujours aussi magique.

 

 

 

 

Avec Erick et pépite nous faisons connaissance des habitants du champ voisin.

 

 

 

 

 

 

 

Oulala.... Oublié d'aller chez la toiletteuse avant de venir, ça va être du boulot en rentrant

 

 

 

 

 Dès notre arrivée notre première visite est pour Buis les Baronnies où j'avais repéré l'an passé un magasin de chaussures avec exactement ce qu'il me faut pour passer l'été.

 

Sur la route un arrêt à Pierrelongue, une église perchée nous ayant attiré l'oeil

 

 

D'origine médiéval, le village de Pierrelongue doit son nom au piton rocheux autour duquel était installé autrefois un château fort. 

 

Détruit en 1789, lors de la Révolution, il fut au 19ème siècle, remplacé par l'église que l’on voit encore aujourd'hui se dresser vers le ciel. 

 

 

Pierrelongue est un petit village agricole tranquille,

 

 

 

 

On monte à Notre Dame de la consolation par des escaliers abrupts et malheureusement en ce début de juin les visites ne sont pas encore autorisées.

 

 

La chapelle Notre-Dame de la Consolation des Ames du Purgatoire est l’œuvre d’un curé, Jules Pascaly, qui la fit construire de 1894 à 1905 sur les plans du chanoine Pau. 

 

 

En voyant le rocher à son arrivée en 1864, l’abbé Jules Joseph Pascalyil souhaita remplacer les vestiges de l’ancienne place forte par un sanctuaire dédié à la Vierge en mémoire des victimes de 1870.

 

Les travaux débutèrent en 1894 et s’achevèrent en 1905. Les plans ont été conçus par le chanoine de Pau qui s’appuya sur le modèle de la basilique Notre-Dame de Lourdes.

 

Les constructions commencèrent avec celle de l’escalier monumental qui ceinture la roche avec ses 75 marches. Puis il y eut l’aménagement d’une crypte consacrée à Saint Joseph et enfin l’élévation de la chapelle Notre-Dame de la Consolation.

 

 

 

L'église est de petite dimension 5m sur 15m

 

 

Devant l’entrée de la chapelle, au bout de l’escalier se trouve une statue d’une Vierge à l’Enfant. Cette œuvre a la particularité de représenter Marie tenant l’enfant Jésus à bout de bras, semblant le présenter au monde. Elle fût offerte par la duchesse d’Uzès en 1907. Elle fût coulée dans le bronze par François Rudier qui était le fondeur de Rodin. 

 

Dans les travées de l’escalier qui mène à la chapelle, sont disposées des statues de Saints : Saint Maurice avec la croix et l’épée, Saint Joseph avec l’équerre, un Saint tenant la Sainte Face en médaillon, ainsi qu’une statue de la Sainte Vierge en prière. 

 

 

 

 

 

 

Cela fait 2 années que nous venons et  nous avons pas mal visité les alentours. Notre venue en juin est motivée par voir la lavande en fleurs et les rosiers aussi.

 

 

Résultat Visite de Grignan ou les rosiers sont déjà défleuris et la lavande est en retard et donc pas encore en fleurs.....

 

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Tout faux, raté, tant pis......

 

Notre première sortie sera l'Abbaye de Valsainte

 

A 600m d’altitude, au centre d’une vaste coupe naturelle appelée dès la plus haute antiquité « vallée de l’Absinthe », domine une terre sacrée de la Préhistoire à nos jours. Sur ce promontoire de grès se juche l’abbaye cistercienne de Valsaintes dans laquelle des moines vécurent du XIIe siècle jusqu’à la Révolution française. Tout autour s'épanouit un jardin singulier au label "Jardin Remarquable" décerné par le Ministère de la Culture Français.

 

 

 

 

Gardien du promontoire de Boulinette, le rocher Dragon couve ses œufs et veille sur la vallée de Valsaintes.

Cet oppidum fut habité dès le paléolithique. La présence d’une caverne à l’emplacement actuel de l’église, n’a pu que convier ces civilisations à honorer les puissances de la nature. Les multiples plateaux environnants ont servi de repères astronomiques et un calendrier solaire protohistorique consacré à l’astre du jour, reste gravé dans la roche.

 

 

 Nous découvrons la voie des roses,

 

Ce parcours retrace chronologiquement l'évolution botanique de la Rose. Un choix d'espèces et de variétés de rosiers nous fait voyager dans l'histoire et vient s'ajouter aux 500 variétés déjà présentes. 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Très jolie balade dans les jardins de cette abbaye et sur la route un petit arrêt à Simiane la Rotonde

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le long de la route, les champs sont remplis de coquelicots et d'arbres tordus

 

 

 

 

 

 

Et quelques pieds de lavande un peu fleuris

 

 

 

 

 

Premier Dimanche, nous partons sur la journée à Grignan. L'objectif principal est faire voir à Colette les rosiers qui jalonnent tout le village. Nous, nous avions déjà visiter en 2009 (La Drôme provençale). Nous arrivons avec une petite averse mais rien de grave. Au bout de 10  minutes nous voici en chemin. 

 

Tous les rosiers sont déjà défleuris  Résultat de recherche d'images pour

 

 

 

 

 

Madame De Sévigné est toujours là

Madame De Sévigné est toujours là

Les petites ruelles sont quand même sympas

Les petites ruelles sont quand même sympas

Oh!!!! 2 roses

Oh!!!! 2 roses

Le harpiste Didier Pierre Kugel qui donne un concert le soir même dans une chapelle de Grignan

Le harpiste Didier Pierre Kugel qui donne un concert le soir même dans une chapelle de Grignan

Ne soyons pas mesquins et nous apprécions 2 ou 3 rosiers encore en fleurs

Ne soyons pas mesquins et nous apprécions 2 ou 3 rosiers encore en fleurs

A la sortie de Grignan nous faisons un arrêt au village provençal miniature (dejà visiter en 2009). 

 

La vie d'un village provençal au début du siècle dernier en passant par le marché, l'église, l'école, le bistrot, la boulangerie, l'épicerie, la pharmacie, le meunier, le coiffeur, le moulin à grain, le moulin à papier etc...

 

La farandole provençale au pied du moulin de Daudet, la partie de pétanque sur la place du village, celle de belote à la terrasse du café, la vie au mas, le campement de gitans, et bien d'autres scène à découvrir.

 

 

Origine des santons

 

La mise en scène de la Nativité trouve ses origines au Moyen Age. A cette époque, les pièces de théâtre étaient très appréciées, mais leur contenu trouvait matière dans des traditions païennes.

 

 

L’église opposa à ces représentations scéniques des pièces qui avaient pour thème principal la naissance du Sauveur. Ces crèches vivantes se sont répandues, les personnages étaient joués par les gens du village, les animaux étaient réels. Progressivement, les acteurs furent remplacés par des personnages en bois, en carton, en cire etc…Les premières crèches ressemblant à celles que nous connaissons font leur apparition dans les églises au 15ème siècle.

 

 

Avec la révolution française, qui entraîna l’interdiction des fêtes religieuses, les crèches entrent progressivement dans les maisons. Au fur et à mesure, elles s’inspirent du quotidien par la création de personnages en lien avec la vie locale. En Provence, ces personnages au nom de Santons « SANTOUN » en provençal signifient Petit Saint.

 

 

 

 

Dès le 19ème siècle, la crèche provençale devient la plus populaire. Elle finit par représenter tous les métiers de l’époque en costume local.

Parmi ces personnages, dont leur histoire personnelle se raconte dans les pastorales, il faut citer l’enfant Jésus, la Sainte Vierge, Saint Joseph, le bœuf et l’âne, l’Ange, les Rois mages, les bergers, le ravi (l’idiot du village), le tambourinaire, le pécheur, le porteur d’eau, le meunier, le boulanger, le vannier, le remmouleur, la lavandière etc..

 

 

 

 

 

 

Les reconnaitrez vous??

 

 

 

 

 

Sur le chemin du retour un champ de lavandin qui commence à fleurir

 

Lavande ou Lavandin

 

La vraie lavande est nommée Lavandula angustifolia, elle pousse au delà de 800 mètres d'altitude dans les zones sèches et caillouteuses du plateau de Sault et d'Albion en Haute-Provence. Elle apprécie les sols calcaires et supporte bien le froid lorsque le sol est très drainé. On la connaît aussi sous le nom de 'lavande fine' car son parfum délicat et très floral est utilisé par tous les grands parfumeurs. Il faut plus de 100 kg de fleurs pour obtenir un seul litre d'huile essentielle.

 

La lavande aspic, de son nom latin Lavandula latifolia (syn. L. spica), est une autre espèce reconnaissable à ses feuilles larges, à sa haute taille et à son odeur camphrée. Elle pousse à basse altitude jusqu'à 600 m maximum. Très ramifiée, elle présente de nombreuses tiges portant plusieurs épis de petites tailles.

 

Le lavandin, hybride entre les deux espèces botaniques précédentes ! Il s'agit d'une hybridation naturelle connue sous le nom latin de Lavandula x intermedia.

 

Elle ne peut être multipliée que par bouturage et a pour avantage d'être très productive. Le lavandin pousse très bien dans la zone intermédiaire aux deux cultures précédentes c'est à dire entre 200 et 800 m d'altitude. Son parfum est nettement moins subtil que celui de la lavande fine, il est donc rarement utilisé par les grands parfumeurs et sert plutôt dans le domaine industriel pour la confection de sachets de lavande mais aussi pour parfumer les produits ménagers. Il suffit de 40 kg de lavandin pour réaliser un litre d'huile essentielle, ce qui lui confère un rendement bien supérieur à celui de Lavandula angustifolia et donc un prix bien plus bas.

 

 

 

 

 

La cure avance et nous mettons à profit nos après-midi pour nous reposer. Cela fait 3 ans que nous venons ici et nous avons déjà pas mal visité.

 

Mais au détours d'une conversation avec d'autres curistes (gens du coin) on nous indique des champs de lavande et de jolis villages sur la route de Carpentras.

 

Nous voilà donc parti

 

De champ de lavande, nous ne verrons qu'un seul champ de lavandin, mais c'est déjà ça

 

 

 

 

Malemort de Comtat

 

L'origine la plus couramment admise du nom de Malemort est «mauvaise mort » suite à l'extermination de la population du village par les troupes franques de Charles Martel.

 

 

Explication : l'invasion sarrasine (725-740) s'était traduite par une occupation de courte durée, mais elle a laissé des traces durables dans la mémoire collective. Il semble en effet que les Provençaux étaient plutôt favorables aux occupants, les «Sarrasins », qui avaient respecté leurs institutions ancestrales. La répression franque menée par le célèbre Charles Martel, fut brutale. La légende veut qu'une bataille ait eu lieu en 739 à Malemort (qui se nommait encore « Calvias » à l'époque), bataille qui aboutit à un massacre dont ne furent sauvés qu'une vieille femme et son coq. D'où la figure du coq dans le blason du village et sa devise: «ortus a morte » (né de la mort).

 

 

 

 

 

Notre Dame de Calvias

 

Elle date du 13ème siècle au plus tard, mais a fait l'objet de nombreux agrandissements et restructurations au cours des siècles. Le clocher, comportant un sommet pyramidal à 8 pans date de 1611. Le mur occidental dans lequel est percée la porte principale de l'édifice en chêne massif, est de 1750.

 

 

 

 

 

 

Pernes les Fontaines

 

D'abord Paternus, puis Paternae et Pernes, la ville qui bénéficiait d'une source naturelle et comptait 36 fontaines en 1936, est devenue « Pernes-les-Fontaines ».

 

Et des fontaines, il y en a ! Pas moins de 40 - deux fois plus si on compte les fontaines privées - datant du XVIIIè siècle et dont plusieurs sont classées aux Monuments Historiques. Recouvertes de mousses ou de mascarons, monumentales ou minuscules,

 

 

 

 

Nous n'avons pas vu et vous ne les verrez pas non plus, les 41 fontaines. Il fait très chaud et nous préfèrons

 

1 - Boire un pot bien frais sous une terrasse ombragée

2 - Visiter la maison Fléchier

 

 

Porte Notre Dame 

 

 

 

 

La fontaine du Cormoran

 

 

Les halles 

 

 

 

 

 

 

Notre Dame de Nazareth

 

Un édifice typique des églises romanes provençales dont la plupart des éléments datent du XIIe siècle. Citée dès le XIIIe siècle comme un important prieuré, l'église Notre-Dame-de-Nazareth aurait été fondée, selon la légende, par Charlemagne. Ce dernier aurait fait construire l'humble chapelle qu'elle était au départ, en remerciement à la Vierge pour la victoire qu'il venait d'emporter sur les Sarrasins. L'édifice a été remanié au cours des siècles suivants. On y voit encore les traces de l'incendie allumé par le baron des Adrets en 1562.

 

Quelques chapelles gardent les traces d'anciennes peintures. A l'extérieur, on est frappé par l'allure imposante de son clocher fortifié dont l'une des caractéristiques est qu'il semble n'y avoir aucun moyen d'y accéder. Sa renommée est telle que l'église fit partie de la première liste des monuments historiques français, en 1840.

 

 

A l'intérieur, on remarque aussi l'orgue construit au XVIe siècle puis restauré en 1975

 

 

 

 

 

 

 

 

 

la Maison natale d'Esprit Fléchier (XVIIe) abrite un musée dédié aux traditions contadines et à l'oeuvre du célèbre Pernois, l'un des plus grands orateurs du XVIIe siècle.

 

Valentin Esprit Fléchier ( à Pernes-les-Fontaines -  à Nîmes) est un homme d'Église et prédicateur français, évêque de Lavaur, puis de Nîmes, considéré comme l'un des grands orateurs du xviie siècle.

 

Il eut une jeunesse pauvre, fréquenta l’hôtel Rambouillet, devint sous-précepteur, puis lecteur du Dauphin et aumônier de Mme la Dauphine. Poète français et latin, remarquable orateur sacré, il prononça des oraisons funèbres, dont les meilleures sont celles de Turenne et du duc de Montausier.

 

Nommé à l’Académie le 5 décembre 1672, en remplacement de Godeau, il fut reçu le 12 janvier 1673, le même jour que Racine et Gallois. Son discours eut un succès qui déconcerta Racine, parlant après lui et qui le fit paraître inférieur à lui-même, « Le premier qui fut reçu après moi fut M. l’abbé Fléchier, évêque de Nîmes. Il y eut une foule de monde et de beau monde à sa réception... On peut dire que l’Académie changea de face à ce moment ; de peu connue qu’elle était, elle devint si célèbre, qu’elle faisait le sujet des conversations ordinaires. » (Perrault).

 

 

Fléchier fut nommé évêque de Lavaur, en 1685, puis de Nîmes, 1687 ; sa charité était inépuisable et il fut regretté même des protestants. Il reçut Huet, fut protecteur de l’Académie de Nîmes, et a laissé une Histoire de Théodose le Grand.

Mort le 16 février 1710.

 

Au 1er étage, on découvre une salle à manger du XIXe siècle, au moment du "Gros souper" de Noël. On y évoque les traditions calendales si chères aux Comtadins : la sainte Barbe, le cacho fio, la table calendale avec trois nappes et trois chandeliers, la composition du repas et des treize desserts.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans une salle voisine, on assiste aux «Souhaits au nouveau né». Les présents offerts à la jeune maman dans les trois jours suivant la naissance. 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au 2e étage, nous trouvons la reconstitution de l'atelier du dernier santonnier du village, Ludovic Montagard, avec ses outils, ses moules et, bien sûr, ses santons. 

 

 

 

 

 

 

 

 

On découvre ensuite une magnanerie, lieu dans lequel on élevait les vers à soie, un élevage qui a longtemps été une source de revenus non négligeable pour les familles comtadines.

 

 

 

 

 

 

 

Fontaine de Vaucluse

 

Dernière étape de cet après midi de balade, Fontaine de Vaucluse, vivement recommandé par beaucoup.

 

Première déception, stationnement obligatoire à 4€ (il est déjà 18h et nous savons que nous ne resterons pas longtemps). Seconde déception, beaucoup de commerces "touristiques" qui commencent déjà à fermer ?????

 

Par contre l'environnement est superbe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une colonne, dédiée à Pétrarque, a été érigée en1804 pour célébrer le 500e anniversaire de la naissance du poète italien. 

 

 

 

 

Lieu de mémoire littéraire, le Musée-Bibliothèque François Pétrarque fait vivre un patrimoine écrit et artistique autour de la figure du premier humaniste, François Pétrarque et du poète riverain de la Sorgue, René Char.

 

Fondé en 1927, sur la rive gauche de la Sorgue, il est sur l’emplacement supposé qu’occupait la maison du poète au XIVe siècle.

 

Vu l'heure, nous faisons simplement un tour dans le parc

 

 

 L'eau de la Sorgue est vraiement limpide

 

 

 

 

 

 

 

 

 

6 platanes monumentaux dont l'âge est estimé à plus de 200 ans

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dernière balade sur la journée ce dernier dimanche de cure.

 

Nous allons jusqu'au plateau de Valensole, où, parait-il, il y a des champs de lavande (Peut être seront-ils fleuris????)

 

Balade très agréable, effectivement, des champs sont en début de fleurissement. Il y a aussi énormément de champs de coquelicots.

 

Renseignement pris, ce sont des champs dessaisonnés. Ils ont été labouré et cela mélange la terre humide et la terre sèche et favorise la pousse des coquelicots.

 

Un petit florilège des photos prises mais qui ne donne pas vraiment les couleurs vues en réel.

 

 

 

 

 

 

Au sommet du plateau de Valensole

Au sommet du plateau de Valensole

Plus rose que la lavande, des champs de lupins blancs et roses dont les graines servent à la nourriture du bétail. Mais aussi très connus au Portugal sous le nom de Tremoços

Plus rose que la lavande, des champs de lupins blancs et roses dont les graines servent à la nourriture du bétail. Mais aussi très connus au Portugal sous le nom de Tremoços

Remarqué Tata Colette dont les couleurs sont en adéquation avec l'environnement

Remarqué Tata Colette dont les couleurs sont en adéquation avec l'environnement

Nous arrivons bientôt à la fin de cette parenthèse bienvenue.

 

Un dernier tour pour vérifier si la lavande fleurie.

 

Un arrêt Ho bouquet de Lavande pour dire bonjour à Nathalie et acheter du miel de lavande nous permet de comprendre que la lavande à 15 jours de retard dans la floraison car il a gelé en début mai.

 

C'est bien notre veine 

 

Quelques photos quand même de ses champs

 

 

 

 

Pas toujours bien droit les sillons de lavande

 

 

 

Nous revenons par Barret-de-Lioure, les pentes sont couvertes de genets

 

 

Il y a même une Tata Colette dans les genets

 

 

 

 

 

 

Voilà, on en a vu de toutes les couleurs quand même.

 

Ce séjour se termine et il nous faut commencer notre voyage de retour qui passe bien sur par Montélimar.

 

Un arrêt chez cousin Patrick et une réserve de nougats plus tard et nous serons rendus.

 

 

 

 



19/06/2019
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