Les Bidochons en balade

Les Bidochons en balade

Brest et ses alentours (suite)

 

 

Pour continuer ce week end de 1er mai 2017, après la découverte de  Logonna Daoulas et la presqu'île de Crozon, nous partons visiter Brest.

 

Pour une fois nous sommes tellement matinaux que nous arrivons à Brest avant que l'Office du Tourisme ne soit ouvert.....

 

Nous achetons un billet de transport (4€ la journée pour 4 personnes pour bus, tram et téléphérique... )

 

Brest

 

L’histoire de Brest remonte à la préhistoire avec la topologie du Brest originel, c'est-à-dire celui du château actuel. Lequel est un promontoire, bordé d'un côté par la Penfeld, de l'autre par la mer. 

 

En 1593, Henri IV donne à Brest le titre de ville. Idéalement situé pour la surveillance des côtes, Brest inspire Richelieu : ainsi naît l’Arsenal, sur décision de Louis XIV (1631). Son développement est poursuivi par Colbert et bénéficie du génie de Vauban.

 

Au siècle suivant, commencent les grands voyages d’exploration où s’illustrent au départ de Brest, Bougainville (1766), Kerguelen (1773), La Pérouse (1785), puis d’Entrecasteaux (1791) à sa suite. 

 

Ensuite c’est autour de son arsenal que Brest se développe et ce jusqu’à la seconde moitié du 20ème siècle.

Durant la Seconde Guerre mondiale, entre 1940 et 1944, Brest est presque entièrement détruite par 165 bombardements alliés.

 

 

Nous descendons la rue de Siam, artère principale et la plus commerçante de la ville.

 

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Elle doit son nom actuel au débarquement de trois ambassadeurs du roi de Siam Narai, menés par Kosa Pan, dans ce port, le . Accompagnés de six mandarins, trois interprètes, deux secrétaires et une vingtaine de domestiques, chargés de nombreux présents, ils venaient rendre visite au roi Louis XIV à Versailles. 

 

Empruntant à pied la rue Saint-Pierre pour se rendre à l’hôtel du même nom, ils émerveillèrent les Brestois qui rebaptisèrent leur rue.

 

Nous prenons le téléphérique qui vient d'être mis en service (novembre 2016) et qui nous permet de traverser la Penfeld.

 

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Une belle vue sur le pont de la recouvrance.

 

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Le téléphérique nous amène aux ateliers des capucins.

 

En 2009 la Marine a cédé le plateau des Capucins à la Ville de Brest. La Municipalité a voulu profiter de cette opportunité pour créer le quartier des Capucins et transformer les ateliers en un vaste lieu culturel et commercial.

 

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La surface couverte par les ateliers est imposante : 160 m de côté, trois nefs monumentales, 200 baies vitrées, 3 000 à 5 000 m² de locaux commerciaux et services.

 

Le projet prévoit que les grandes nefs des ateliers soient occupées par trois grands ensembles : Un multiplexe au nord, un vaste hall d’exposition dit « salle des machines » au centre (10.000 m2) et une médiathèque au sud.

 

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Au premier étage, le « passage des Arpètes » permet d’avoir une vue d’ensemble des ateliers.

 

 

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La rue Saint Malo

 

La rue Saint-Malo, seule rue contemporaine de la Révolution à avoir été épargnée par les bombardements alliés dans une ville dont 75% du tissu urbain était anéanti à la fin de la guerre, est un témoin important de l'identité de Brest.

 

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Nous redescendons jusqu'à la Tour Tanguy

 

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Bâtie au XIVe siècle, la Tour Tanguy occupe une situation privilégiée sur la rive droite de la Penfeld, face au château de Brest, au pied du pont de Recouvrance.

 

Elle abrite les dioramas de Jim Sévellec, véritables reconstitutions historiques du Brest d’avant 1939.

 

La tour Tanguy et les piliers du pont de la recouvrance en alignement

 

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Puis nous allons jusqu'au jardin des explorateurs

 

Il abrite une collection de plantes rapportées par quatre explorateurs partis de Brest : Louis Antoine de Bougainville, Jacques Julien Houton de la Billardière, Etienne Raoul, Phillibert Commerson; elles sont réparties en cinq zones géographiques : Asie, Afrique du Sud, Nouvelle-Zélande, Australie, Amérique du Sud.

 

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Dans ce jardin, dessiné par l'Atelier de l'Ile, des tronçons de bambou fichés dans le sol rappellent aussi que les graines pouvaient être conservées dans le bois creux de cette plante durant de longues expéditions.

 

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Nous avons une vue magnifique sur le château (qui abrite maintenant le musée national de la marine) et sur la Penfeld et la base navale.

 

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Nous descendons jusqu'au cours Dajot qui surplombe le port de commerce ouvert sur la rade ou nous allons déjeuner.

 

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Voulant profiter au maximum de cette journée très très ensoleillée nous décidons de quitter Brest, et d'aller jusqu'à la pointe Saint Mathieu.

 

 

Un arrêt au Fort du petit Minou

 

 

Le fort du Petit Minou a été construit de 1694 à 1697. Il se trouve sur la commune de Plouzané.

 

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C'est une enceinte en maçonnerie de moellons de 6 mètres de hauteur moyenne, bordée d'une douve de 3 m de profondeur pour 9,5 m de largeur.

Cette structure Vauban complète le dispositif de défense du Goulet de Brest en y installant des canons de 24, un poste de commandement, des directions de tir et des magasins.

 

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Le fort sera renforcé au xviiie et xixe siècles.

 

Le phare du Petit Minou est construit en 1848 au bout de la pointe.

 

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Le fort est occupé par les troupes allemandes en 1940 qui y construisent un imposant blockhaus.

  

Ayant perdu sa vocation militaire, le fort du Minou est acquis par la commune de Plouzané et ouvert au public depuis octobre 2007

 

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La Pointe Saint Mathieu

 

 

 

C’est le bout de terre le plus à l’ouest de l’Hexagone. Lieu d’histoire et de mémoire, le phare de la pointe Saint-Mathieu est un monument symbolique pour tous les marins de Bretagne.

 

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La légende raconte que, ramenant le corps de l'apôtre Mathieu, des marchands du Léon auraient été miraculeusement sauvés du naufrage au large de cette pointe.

 

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Au 6e siècle, pour abriter les reliques du saint, Tanguy y fonde le premier monastère. De l'abbaye subsistent aujourd'hui la façade romane, les voûtes de pierre du chœur et les arcades de la nef

 

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 Le phare actuel est allumé depuis 1835. Haut de 37 m, son feu blanc éclaire l’océan toutes les 15 secondes. D’une portée de 29 milles, il signale la route à suivre pour entrer dans le goulet de Brest. Electrifié en 1937, il fut automatisé en 1996. Son dernier gardien a quitté les lieux en 2006. Le phare Saint-Mathieu est classé monument historique depuis novembre 2010.

 

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La chapelle Notre Dame de Grâce

 

Située à la Pointe Saint Mathieu, à l’extrémité sud de la place de l’abbaye, cette chapelle était jadis l'église paroissiale de Saint-Mathieu, une ville importante avec 36 rues et ruelles. Elle était proche de l’abbaye Saint-Mathieu qui attirait les convoitises et qui fut à de nombreuses reprises attaquée, pillée, incendiée puis reconstruite. La Pointe fut ravagée en 1558 par une expédition anglo-hollandaise. La ville de Saint Mathieu ne s’en relèvera pas.


L’église paroissiale Notre Dame du Bout du Monde (an Itron Pen-ar-Bed) est détruite, son portail monumental du 14e, seul vestige de cette église, donne une idée de sa taille.

 

 

 

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La chapelle actuelle reconstruite sur son emplacement n’occupe que la place de la nef principale.
La chapelle fut restaurée en 1861.

 

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Nous suivons un chemin qui longe la falaise 

 

 

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Et nous arrivons au Mémorial National des Marins

 

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Erigé en 1927 par René Quillivic, en mémoire des marins morts pour la France au cours des conflits du XXème siècle.

 

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En leur hommage, le fortin réduit défensif est aménagé en cénotaphe permettant à tout un chacun de s'y recueillir...

 

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Lieu de mémoire pour les victimes et les conflits passés, cet espace funèbre se doit, dans la passation délicate de génération en génération, de parler, de toucher l'ensemble des visiteurs.

 

 

 Sur le chemin du retour nous nous arrêtons à Plougastel Daoulas pour voir son église et surtout son calvaire.

 

 

Le calvaire est aujourd'hui l'ultime vestige d'un ensemble paroissial qui fut détruit par les bombardements alliés les 23 et 24 août 1944.

 

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La tradition et l’histoire font du calvaire de Plougastel-Daoulas un ex-voto marquant en 1598, la fin de l’épidémie de peste qui venait de décimer un tiers de la population de la presqu’île. 

 

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Le calvaire de Plougastel-Daoulas est haut d'environ 10 mètres. L'octogone qui forme le noyau du soubassement a 1,70 mètre de côté. Il est flanqué de quatre épais contreforts.

 

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Sur cette base en granit jaune de Logonna-Daoulas, 182 statues sont sculptées en pierre de Kersanton de couleur bleue et les plus grandes mesurent un mètre et pèsent de 100 à 200 kilos.

 

Elles illustrent, en 28 tableaux, des scènes bibliques de la vie du Christ ou des scènes légendaires comme Katel Kollet. Il s'agit d'un des sept grands calvaires de Bretagne. Un escalier de 14 marches près du contrefort nord-ouest permet d'accéder à la plate-forme centrale où s'installait autrefois le prédicateur.


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L’église paroissiale Saint-Pierre devenue trop petite, fut détruite en 1870 et remplacée par une église de style néogothique. Celle-ci fut presque entièrement détruite pendant la Seconde Guerre mondiale par les bombardements américains des 23 et , y compris son magnifique buffet d'orgues et ses fonts baptismaux ; reconstruite hâtivement (son clocher est en béton), elle possède toutefois quelques mobiliers intéressants.

 

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Pour notre dernier jours, la pluie s'invite.

Nous partons quand même pour faire une boucle afin de voir une partie des enclos paroissiaux.

Logonna - Landerneau - Saint-Thégonnec -Guimiliau - Lampaul-uimiliau - Sizun -Logonna

 

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Premier arrêt à Landerneau ou la pluie importante nous précipite rapidement dans un bar pour prendre notre petit café du matin.

 

J'ai le temps de sortir mon appareil de sous mon Kway pour prendre 2, 3 clichés

 

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En chemin les ruines d'un château attire l'oeil.

 

La roche Saint Maurice

 

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Au pied de l'église

 

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Nous arrivons à Saint Thégonnec

 

 

Les enclos paroissiaux constituent un ensemble architectural unique en France, composé d’une église, d’un mur d’enceinte (d’où son nom), d’un portail monumental ou arc de triomphe, d’un calvaire et d’un ossuaire.

 

La majeure partie des enclos paroissiaux de Bretagne est située dans le nord et le centre-Finistère.


Ils sont apparus au 16e siècle à « l’âge d’or » de la Bretagne. La région bénéficiait alors d’une économie florissante liée au commerce maritime et grâce à la production de chanvre et de lin, dont les toiles étaient exportées dans toute l’Europe. C’est à partir de cette époque que s’édifient les plus beaux enclos paroissiaux, jusqu'au 17e siècle.

LE MUR D’ENCEINTE

 

Il délimite le passage de l’espace profane à l’espace sacré, du royaume des vivants au royaume des morts. Un passage dont le caractère symbolique est souvent représenté par une porte triomphale.

 

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LE CALVAIRE

Véritable livre de pierre, le calvaire représente différents épisodes de la vie du christ et de ses apôtres et peut compter jusqu’à deux cents personnages. Il jouait un rôle pédagogique auprès de populations qui n’avaient pas accès à la lecture. Il n’est pas rare d’y trouver également des allusions à des légendes où le diable est souvent présent.

 

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L’OSSUAIRE

Il recevait les ossements exhumés quand fut jugée incongrue une trop grande cohabitation entre les fidèles et les défunts dans l’église. Il permit ensuite de réguler l’évolution des cimetières situés dans l’enceinte de l’enclos. Sa façade arbore très souvent des sentences abordant le passage de la vie à la mort.

 

 

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L’ossuaire à gauche de la porte triomphale, construit entre 1676 et 1682  est dédié à la prière pour les défunts. Il servait de chapelle funéraire et de reliquaire. Il ne contient aucun ossement.

 

 

Dans la crypte se trouve une Mise au tombeau du Christ spectaculaire.

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L’ÉGLISE

Sa monumentalité traduit les défis relevés par les communes dans leur recherche de la plus belle réalisation. La majesté des clochers, l’ornementation des porches, le travail des sablières, le détail des verrières et les aménagements intérieurs : retables, chœur, mobilier, orgues… content, chacun à leur manière, le savoir-faire de ces bâtisseurs au service de la grande et de la petite histoire.

 

 

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L’architecture de l’église est plutôt sobre, mais elle est richement décorée de retables, autels, statues, vitraux, toiles, etc. Elle contient entre autres un baptistère en chêne sculpté en bois polychrome de 1675,

 

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un chaire à prêcher de 1677,

 

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et un orgue construit en 1670 par Jacques Mascard, facteur d’orgues à Landerneau, mais plusieurs fois remanié, en particulier par Thomas Dallam entre 1681 et 1683, puis par Florentin Grimont en 1789 et reconstruit par Heyer en 1863.

 

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Elle a été gravement endommagée par un incendie le 8 juin 1998, puis restaurée de 1998 à 2005 à l’identique.

 

Elle est classée monument historique depuis 1886.

 

 

 

 

Nous continuons jusqu'à Guimiliau.

 

Il est 13h15 et la pluie nous force un peu à rentrer dans le seul restau/crêperie du bourg  -Ar Chupen.

 

Je vous le recommande très fortement si vous êtes dans le coin.

 

Leur spécialité c'est l'artichaut farci. Erick prend un l'artichaut du chef (recouvert de mousse de fromage de chèvre, une pipette de calva pour arroser...)

 

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Et moi un artichaut fermier (lardons, champignons, crème...)

 

 

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Copieux et vraiment EXCELLENT

 

 

Pour terminer une crêpe antillaise pour Erick flambée au rhum

 

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Et pour moi une Plougastel (nous sommes dans le pays des fraises quand même)

 

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Et tout cela à prix très raisonnable. Vraiment une petite perle.

 

En ressortant malheureusement, la pluie est de plus en plus drue et nous oblige à prendre le chemin du retour.

 

Voilà pour terminer ces 4 jours bretons. Demain nous rentrons chez nous.

 


 



29/04/2017
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